Pour une meilleure efficacité de leur informatique, les entreprises clientes montent des centres de services partagés informatiques (CSP-I) dont les performances seront évaluées par celles de leurs unités d’œuvre.
Prestataire "interne", le CSP-I s'appuie à son tour sur des prestataires "externes". [1]
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| Ecosystème informatique |
Engagés pour une durée de deux ans généralement renouvelable pour un an, ces prestataires doivent représenter lors d'une offre :
- des références pertinentes et récentes,
- un capital humain à la mesure de la qualité et du volume de fournitures attendues par le CSP-I,
- des assurances de la maîtrise des pratiques couramment utilisées (label, certification,...)
- un savoir-faire susceptible d'être transféré au CSP-I,
- des outils informatiques modernes (réseaux sociaux d'entreprise, bases de connaissances,...) susceptibles d'être partagés avec le CSP-I,
- un écosystème susceptible de fournir un appoint en ressources ou en compétences.
- une gestion du capital humain qui en passant permettra d'apprécier la réalité des profils représentés (junior, senior, manager, expert),
- une gestion des connaissances et des pratiques dont la description des actifs fera la distinction entre les actifs couramment utilisés (bonnes pratiques/"référentiels SI") et ceux à valeur ajoutée propres à l'entreprise prestataire et souvent gardés confidentiels (savoir-faire),
- une bonne gouvernance des prestataires de second rang (représentation, facturation, exploitation de propriétés intellectuelles)
[1] Un prestataire "externe" est gouverné par la loi des marchés financiers tandis qu'un prestataire "interne" est gouverné par l'entreprise qu'il sert.
"Un opérateur de services gouverné", ITR Manager, 5 avril 2011
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"Répondre à un appel d'offre d'unités d'oeuvre SI : gouvernance de l'innovation dans une chaîne de fourniture SI"
